samedi 20 décembre 2014

La carte du temps

4 de couv' :
Londres, 1896. Il n'y a pas que dans l'imagination de l'écrivain H.G. Wells que l'on peut voyager dans le temps. Avec ses séjours en l'an 2000, l'agence Murray fait un tabac... Révolution ou canular ? Andrew Harrington y voit la possibilité de revenir huit ans en arrière et de sauver sa bien-aimée, assassinée par Jack l'Eventreur. D'autres, comme Wells lui-même, n'y croient guère. Le temps va toutefois lui jouer des tours, ainsi qu'à ses confrères Henry James et Bram Stocker... A quelques paradoxes près !


Vous constaterez que je n'arrivais pas, ces derniers temps, à sortir du XIXème siècle !
Et tant qu'à rester dans le passé, autant voyager dans le temps, et avec quelle maestria : l'auteur a autant pris plaisir à écrire cette histoire qu'à l'offrir aux lecteurs et là où on pense qu'il va se fourvoyer dans un un bête paradoxe temporel, on se rend compte qu'il l'a autant anticipé que nous pour admirablement retomber sur ses pieds. Avec classe, grâce et humour, qui plus est.

Vous l'aurez compris, j'ai été complètement conquise par cette histoire (ou plutôt ces trois histoires, qui se rejoignent admirablement mais comment pourrait-il en être autrement, ayant pour personnage central H.G. Wells himself ?), relevée par la complicité instituée par le narrateur avec le lecteur.

Il y a deux suites, que j'ai hâte de lire comme vous vous en doutez, mais je le crains aussi, les suites ne sont pas toujours bonnes, sauf pour les poches des éditeurs bien sûr.

Mais je craquerai, comme toujours, vous en entendrez donc parler...
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