Ce sont ses aventures que j’ai découvert un peu par hasard (merci la fnac de suggérer telle ou telle lecture quand on est en train d’en chercher une autre sur leur site).
Je crois qu’il y a à ce jour 6 tomes et sauf erreur de ma part, il y en a un septième en préparation (ô bonheur !).
Il s’agit de romans policier, du moins est-ce la trame de départ, car les enquêtes policières me semble plus ou moins survolées, voire un prétexte. Car le personnage central, Mma Ramotswe donc, est la directrice de l’agence de femmes détectives n° 1 du Botswana.
En fait on apprend à connaître chaque personnage petit à petit, on se prend d’affection pour chacun d’entre eux et il se trouve dans ces livres une grande humanité.
Ici, pas de suspens, de résolution d’enquêtes, ni de vengeance (oups je voulais dire de justice) à l’américaine. Tout est résolu tranquillement, humainement, paisiblement, et il n’y a pas la moindre arrestation.
On a à peine le temps de commencer le livre qu’on est déjà à la fin. « Déjà ? Quel dommage ! » C’est qu’on n’a pas envie de les quitter, nos personnages... Et encore moins cette ambiance paisible...
Et j’aime bien la philosophie de la vie de Mma Ramotswe, qui arrive même dans les moments de la vie les plus difficiles à y trouver du positif. On se dit d’abord « mais comment y arrive-t-elle ? » Puis : « Ah mais oui bien sûr, c’est tellement simple, tellement évident ! »
On irait bien au Botswana pour la rencontrer et s’en faire une copine.
En tout cas, c’est comme ça que j’ai découvert et acheté du thé rouge.
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